Les anomalies dentaires les plus fréquentes

Les anomalies dentaires

Les anomalies dentaires proviennent souvent de leur développement même : ces perturbations concernent à la fois la denture temporaire et permanente. Maintenant, le mécanisme d’apparition est accompagné de neurocristopathies et de supports génétiques. Les dents peuvent être en surnombre ou en insuffisance. 

Les anomalies de nombre ou de taille

L’agénésie dentaire se définit comme un manque de dents par rapport au nombre normal. Cela peut être partiel (hypodontie) ou total (anodontie). Néanmoins, ce dernier cas s’avère être très rare. La première situation est plus fréquente. Les dents extraites ou tombantes naturellement sont les principales causes avec une prévalence de 2,3 à 9,6 %. Les molaires sont les plus touchées. L’oligodontie concerne, notamment de son côté, l’absence de plusieurs dents tandis que la microdontie définit leur petite taille. 

Les relations avec les différents syndromes

En cas de syndrome de Down (Trisomie 21), les patients perdent souvent leur 2ème prémolaire et leur 3ème molaire ainsi que l’incisive supérieure. Ces situations touchent environ 23 à 47 % des individus touchés par la maladie. Le syndrome de Christ Siemens Touraine ou Dyslapsie Ectodermique Héreditaire (Hypohidrotique) associe 3 anomalies. Cet ensemble est constitué par l’hypotrichose, l’hypohidrose et l’oligodontie. Ces maladies se manifestent respectivement par les cheveux rares, cassants ou blonds, la peau souple, fine et sèche et les mauvaises formes des dents.

D’autres syndromes relatifs et l’hyperodontie

Le syndrome ODF type 1 ou syndrome de Papillon-Leage-Psaume a des effets sur les dents : l’hypodontie des incisives latérales inférieures. Cette maladie entraîne entre autres le retard mental, l’hyperplasie des freins, la pseudofente labiale supérieure… À cause du syndrome de Bloch Schulz Berger, les dents temporaires et définitives subissent des oligodonties. Cette atteinte s’accompagne d’anomalies de structure et d’éruption. Outre l’hyperodontie, la lame dentaire connaît une hyperactivité localisée.